Donald Trump’s return to power is a morale booster for far-right politicians like Viktor Orbán, Javier Milei, and Giorgia Meloni. Having pioneered many of the destructive, reactionary ideas associated with Trumpism, they’re now aspiring to global hegemony.
The thing fascists and authoritarians always forget is that there are more of us than there are of them.
It doesn't mean it's a nice contest or a heroic fight ... it's terribly ugly and horrible when the fighting starts but there are always more socially minded people than ignorant ones. It's been the case for thousands of years and I don't think we'll break that pattern any time soon
Well yes and no. Leftists have a massive division problem, always had and probably always will. The whole numbers thing doesn't matter much when those numbers are like oil and water.
If that's his goal, then it wasn't very smart to make the far right leaders from other nations, who travelled to the US to be at his inauguration, watch the live stream with the other plebs.
They know it's best for them not to be seen gathered together all at once. They've all been playing a patient long game (even if some among their followers don't).
Debout, les damnés de la terre
Debout, les forçats de la faim
La raison tonne en son cratère,
C'est l'éruption de la faim.
Du passé faisons table rase,
Foule esclave, debout, debout
Le monde va changer de base,
Nous ne sommes rien, soyons tout.
C'est la lutte finale ;
Groupons nous et demain
L'Internationale
Sera le genre humain.
Il n'est pas de sauveurs suprêmes
Ni Dieu, ni César, ni Tribun,
Producteurs, sauvons-nous nous-mêmes
Décrétons le salut commun.
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l'esprit du cachot,
Soufflons nous-mêmes notre forge,
Battons le fer tant qu'il est chaud.
L'État comprime et la Loi triche,
L'impôt saigne le malheureux ;
Nul devoir ne s'impose au riche ;
Le droit du pauvre est un mot creux
C'est assez languir en tutelle,
L'Égalité veut d'autres lois ;
"Pas de droits sans devoirs, dit-elle
Égaux pas de devoirs sans droits."
Hideux dans leur apothéose,
Les rois de la mine et du rail
Ont-ils jamais fait autre chose
Que dévaliser le travail ?
Dans les coffres-forts de la banque
Ce qu'il a crée s'est fondu,
En décrétant qu'on le lui rende,
Le peuple ne veut que son dû.
Les rois nous saoulaient de fumée,
Paix entre nous, guerre aux Tyrans
Appliquons la grève aux armées,
Crosse en l'air et rompons les rangs !
S'ils s'obstinent ces cannibales
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux.
Ouvriers, paysans, nous sommes
Le grand parti des travailleurs,
La terre n'appartient qu'aux hommes,
L'oisif ira loger ailleurs.
Combien de nos chairs se repaissent !
Mais si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins disparaissent,
Le soleil brillera toujours.