L'écriture inclusive laisse plus de place aux représentations féminines, affirment les scientifiques. L'usage du point médian notamment permet de diminuer significativement le biais en faveur du genre masculin.
qu'on commence déjà par simplifier le français. Les doubles consonnes finissent toujours par m'avoir surtout la confusion avec l'anglais ou l'allemand. Sans parler des accords avec le participe-passé.
Exception: Fait reste toujours invariable quand il est suivi d'un infinitif.
Ex.: La chanson que j'ai entendu chanter était mélodieuse. (J'ai entendu quoi? La chanson. Est-ce qu'une chanson peut chanter? Non. Donc «entendu» est invariable.)
Ex.:Les garçons que j'ai entendus chanter étaient très jeunes. (J'ai entendu qui? Les garçons. Est-ce que les garçons peuvent chanter? Oui. Donc «entendus» s'accorde avec «garçons».)
Les participes passés couru , coûté , pesé , valu , vécu restent invariables quand ils sont employés au sens propre. Au sens figuré, ils s'accordent.
Ex.: Les douze dollars que m'a coûté ce livre furent bien employés. (Ce livre m'a coûté combien? Douze dollars. «Dollars» n'est pas un c. o. d. De plus, «coûté» est employé au sens propre, donc il reste invariable.)
Ex.: Les efforts que m'a coûtés ce travail ont porté fruit. (Ce travail m'a coûté quoi? Des efforts. «Coûtés» s'accorde avec son c. o. d. «efforts».)
Généralement, il demeure invariable si «en» est c. o. d. On considère alors que le «en» est un pronom neutre.
Ex.: Des pommes, j'en ai mangé . (J'ai mangé quoi? «En» mis pour «pommes». Donc, «mangé» est invariable.)
Ex.: Voilà mon jardin et voici les légumes que j'en ai tirés . (J'ai tiré quoi? Des légumes. D'où? De «en» mis pour «jardin». Donc, ici le «en» n'est pas c. o. d. et «tirés» s'accorde avec son c. o. d. «légumes».)
Et autres joyeusetés, c'est bon. Invariable, et c'est marre.
Personnellement, pas encore eu le temps de regarder, mais en parcourant en diagonale, le nombre de participants des échantillons a l'air assez faible (40 participants pour un test ?)
La vidéo est très bien mais je suis d'accord avec Camus que les échantillons sont trop faibles et que la recherche a mon sens doit vraiment s'étoffer pour convaincre efficacement les gens de changer leurs habitudes.
Selon la taille de l'effet on pourrait tirer des conclusions avec même moins de gens que ca ! Tu te rappelle l'article sur pile ou face ? Il a fallu que quelqu'un fasse 350 000 tests pour le trouver parce que c'est un tout petit effet. Un effet plus marqué aura besoin de moins de tests. C'est la magie des maths qui permet de déterminer si l'effet est "significatif" ou non.
J'ai pas tout lu en détail, mais les articles parlent bien d'effet significatifs, donc 40 personnes suffisent. (Bon après les SHS c'est compliqué, mais oui, on peu apprendre des choses à partir de 40 personnes qui font un questionnaire (il faut juste le bon questionnaire, les bonnes maths, le bon échantillon ...))