Une étape est franchie dans la compréhension des mécanismes expliquant pourquoi ce sont majoritairement les femmes qui sont atteintes de maladies auto-immunes. Une étude internationale vient de mettre en évidence, chez la souris, un complexe moléculaire que l’on trouve naturellement actif uniquement au sein des cellules femelles, et qui, lorsqu’il est inoculé à des cellules mâles, renforce leur auto-immunité.